Rensis Likert, psychologue américain a défini dans les années 60, 4 grands systèmes de management, établis selon leurs caractéristiques opérationnelles, allant d’une direction autoritaire à une gestion impliquant totalement les collaborateurs :
Il n’existe pas, à proprement dit, un seul bon mode managérial, ou un meilleur style de management. La 1ère qualité fondamentale de tout bon manager est l’adaptabilité. Il se doit d’être agile et d’alterner habilement entre les différents styles de leadership selon la personnalité et profil de chacun de ses collaborateurs et en fonction du contexte.
C’est ce qu’on appelle le management situationnel. Aujourd’hui, arrêtons-nous sur ce type de management qui libère l’entreprise d’un fonctionnement hiérarchisé : le management collaboratif.
Le management participatif est en quelque sorte une réaction aux méthodes traditionnelles hiérarchiques plutôt autoritaires qui étaient jusqu’ici la norme
En plein essor, ce type de management repose sur l’interaction et la collaboration des salariés, la liberté d’agir, l’assouplissement de la hiérarchie, le bien-être des salariés et l’instauration d’un climat de détente.
Manager selon un mode participatif ne signifie pas se délester de toute responsabilité et donner tous les pouvoirs à ses collaborateurs.
En effet, un mode de management dit participatif peut conserver une partie directive, dans le sens où le manager définit un objectif à atteindre. Les équipes ont ensuite une marge de manœuvre élargie pour atteindre ledit objectif.
Objectif final : améliorer la performance et l’efficacité individuelle, collective ainsi que la productivité de toute l’organisation.
Au-delà des compétences purement théoriques et de gestion, le management collaboratif suppose qu’on fasse aussi appel à d’autres ressources :
Si vous souhaitez aller plus loin, voici différentes formations qui vous permettront de mettre en place ce type de management au sein de votre organisation :